Stade Francais - Biarritz Olympique
Quelle belle soirée au Stade de France !
Le stade s'est rempli doucement prenant les couleurs du Stade Francais, le spectacle est au rendez vous, l'ambiance aussi, le froid aussi... mais le temps est sec, ce qui laisse augurer d'un elle partie.
Encore un pari réussi de la part de M Guazzini, qui veut s'inspirer du superbowl, rien que ça... Plus qu'une affiche et un match il souhaite du spectacle, karaoké, pompomgirls, entrée spectaculaire du ballon sur un char !
Source l'équipe
Le Stade Français a été fidèle à son deuxième grand rendez-vous au Stade de France de la saison en venant à bout du leader Biarritz
(21-16). Après le champion d'Europe,Toulouse, Paris a fait tomber le
champion de France qui restait sur dix victoires de rang, six dans le
Top 14 et quatre en Coupe d'Europe. Le président Max Guazzini avait
organisé un véritable show de bruit et de lumière pour faire monter la
sauce dans l'enceinte de Saint-Denis. Peut-être trop pour ses hommes
qui, hormis le premier quart d'heure, se faisaient dominer tactiquement
et techniquement durant les quarante premières minutes. A la pénalité
inscrite très tôt par Skrela (2e, 3-0) répondait celle de Dupuy (6e,
3-3), dont le pied s'était substitué à Yachvili, mis au repos. Paris
était ensuite dans l'incapacité de trouver des solutions, à l'inverse
de son adversaire qui le manoeuvrait à l'aide de coups de pied bien
dosés. Et surtout d'accélérations de ses trois-quarts, comme sur celle
de Gobelet qui transmettait idéalement à Bobo à la 25e minute (3-10).
Skrela réduisait le score huit minutes plus tard et le Stade Français
pouvait presque être satisfait d'un écart si mince à la pause (6-10).
Le BO accentuait son avance par une pénalité de Dupuy (13-6, 45e) et
Paris semblait ne plus pouvoir sortir de ses griffes. Un coup de pied
contré donnait peut-être le signal aux hommes de Fabien Galthié. Deux
actions tranchantes s'ensuivaient puis l'essai tant attendu, inscrit
par Pichot entre les poteaux après un joli travail d'Hernandez (54e,
13-13). L'envie avait changé de camp en quelques instants. Une pénalité
de Skrela (62e) puis un essai typique en vitesse et puissance de
Dominici (64e), son quatrième en quatre matches face au BO, offraient
un avantage de huit points aux Parisiens. L'ultime pénalité de Dupuy
(73e) ne servait aux Biarrots que de consolation avec le bonus
défensif.
ON REFAIT LE FOOT COMMENTE
Un début idéal pour les parisiens qui inscrivent une première pénalité dès la prmeière minute.. Mais c'est le BO qui réalise la meilleure entame, avec de bonnes percussions, un jeu au pied précis, et une défense énorme. Ainsi le BO revient rapidement au score et à la suite d'une des nombreuses percussions, et trouvent BOBO pour applatir le premier essai de la partie qui sera transformé par Dupuy.
Le BO défend bien, les parisiens attaquent mais n'avancent pas, ou peu. La fin de la première période est à l'avantage du stade, et c'est logiquement qu'ils raccrochent au score sur une pénalité, 6-10 pour le BO.
Dès la reprise, les parisiens poussent et parviennent à inscrire 2 essais alors que le BO perd Traille et Brusque sur blessures. Le BO est alors laché mais tente de revenir par une première pénalité qui les replace à 5 points des parisiens. Mais les joueurs du BO ne parviennent pas à inquiéter les joueurs du stade. Le point de bonus est assuré, le match en finit là, victoire du stade, le BO ne démérite pas et reste en tête du championnat.
2 équipes qu'on retraouvera à coup sûr et avec plaisir lors des phases finales.